09/08/15 : Lectures d'été
Cela faisait plusieurs mois que je n'avais plus rien lu pour mon plaisir. Il me fallait donc renouer avec la lecture avec des romans faciles, plaisants, divertissants...
Pour le mois de juillet, j'ai emprunté un livre à la médiathèque : « La ferme africaine » suite à notre visite en juillet 2014, de la maison natale de Karen Blixen. La vie de la jeune danoise me paraissait intéressante et dépaysante.
L'ouvrage commence ainsi : « J'ai possédé une ferme en Afrique, au pied du Ngong. »
Même si Karen Blixen parle de la ferme au Kenya où elle a été rejoindre son futur époux, le baron de Blixen, le livre n'est qu'une succession d'événements, sans liens logiques entre eux.
La baronne Blixen suit ses souvenirs et se laisse guider par la nostalgie pour retracer sa vie dans la plantation de café qu'elle dirige après son divorce.
Il faut aimer les descriptions des vastes contrées africaines pour que l'alchimie prenne.
J'ai peiné chapitre après chapitre jusqu'à ce que zhom mette un soir le DVD du film de Sydney Pollack (emporté à tout hasard !!!), Out of Africa avec Meryl Streep et Robert Redford. Un monde entre le livre et son interprétation cinématographique...mais difficile de profiter pleinement du film alors qu'on vient de peiner avec le livre.
Inutile de vous dire que je n'ai jamais fini le livre !
(photo du net)
Dans un tout autre registre …. Guillaume Musso, « Parce que je t'aime ».
Il ne m'a pas fallu beaucoup de temps pour dévorer ce livre. Il est aussi passionnant que tous les autres ouvrages de Musso même s'il ne ressemble à aucun autre, une histoire peut-être plus vraisemblable, plus cartésienne.
"Layla, une petite fille de cinq ans, disparaît dans un centre commercial de Los Angeles. Brisés, ses parents finissent par se séparer…
Cinq ans plus tard, Layla est retrouvée à l’endroit exact où on avait perdu sa trace. Elle est vivante, mais reste plongée dans un étrange mutisme.
À la joie des retrouvailles, succèdent les interrogations. Où était Layla pendant toutes ces années ? Avec qui ? Et surtout : pourquoi est-elle revenue ?"
(4ème de couverture)
Avant de débuter la lecture, Musso demande au lecteur, arrivé au terme de l'histoire, de ne pas en dévoiler la fin. Je ne vous dirai donc rien .... pour ne pas gâcher votre plaisir.
Le roman est si bien ficelé qu'il est tout à fait impossible de s'imaginer l'épilogue. Dès les premières pages, la magie opère et l'on a bien du mal à poser le livre, ne serait-ce que quelques instants !
Pour les inconditionnels de Musso, je vous laisse découvrir !
(photo du net)